Alors, tu lis le nom Wolinksi dans une liste de victimes d’un assaut terroriste. Wolinski, c’est ton adolescence. C’est des éclats de rire. C’est surtout un de tes profs de liberté, de subversion. Tu es au bord des larmes.
Et tu te dis qu’il faut que tu écrives. Comme des milliers d’autres. Sachant pourtant que toute personne qui s’exprime sur Charlie Hebdo aujourd’hui a une part de charognard. Toi, comme les autres. C’est comme ça. Au moins, tu en es conscient.