Verbatim

Le dimorphisme sexuel
Encore ue histoire d’alimentation
Mais aussi une affaire culturelle
Aussi un peu de polygamie
Qui de la taille, diversifie
15 cm de moyenne, homme et femme
La lutte pour la viande, miam
C’est cyclique et non linéaire
La preuve par l’ancienne société matrilinéaire
De la polyandrie
Et de toutes les tailles unies
Certes, c’est multifactoriel et multivectoriel
Mais c’est cependant, l’alimentaire, qui différencie lui et elle
En taille, depuis longtemps, sur notre planète
La femme mangeait les restes
Toujours après l’homme, horrible bête
Et c’est toujours le cas, culture affligeante
Le dimorphisme sexuel n’est pas fixé
Tout dépend de la façon de s’alimenter !
Les hommes aristocrates étaient bien plus grands
Que les hommes de la population sans argent
Mais le plus grand mammifère de notre temps
C’est la femelle de la baleine bleue, et pan !
Feu ( 276-194 ) Eratosthène, ce mathématicien
Qui sut déterminer la circonférence de la Terre
Fut donc ignoré de la scolastique réactionnaire
Très longtemps, les religions, c’est vraiment crétin !
Comme toutes les droites
Toujours renaissantes, aux pensées si étroites
Et qui plaisent tant aux gens
A des ignorants comme à des savants
La principale source d’information
De la plupart des gens
C’est hélas la télévision
Qui est seulement de la propagande
Même dans ses films, en contrebande
De la propagande, de la contrebande
Pour le monde tel qu’il est
Pour que le monde ne change jamais
Ou alors seulement la technologie
Mais pas les mentalités, soumises à toutes les oligarchies
Il y a bien quelques documentaires
Mais qui les regarde ? Qui les comprend ?
Et puis changer, c’est très déstabilisant
Le comportement
C’est du codage nerveux
De l’environnement, c’est le vêtement
L’apprentissage fait le peureux ou le courageux
Surtout
Le faux courage virilisé
Pour accepter les guerres et leurs ravages
Mais pas le vrai courage
De toutes les guerres, les refuser !
Nous obéissons à nos programmes
Dès le berceau, dès l’école maternelle
Pour nous empêcher d’être des rebelles
Et ainsi nous devenons des infâmes !
Cela n’est aucunement génétique
Mais bel et bien purement psychologique
Et les fascistes se perpétuent
Et les droites se perpétuent
C’est ainsi que le capital se reproduit
De père en fils, jamais cela ne finit
Enfants de toutes les bourgeoisies
Et les gauches se perpétuent
Les fausses contestations nous tuent !
Religions, idéologies, croyances
Se perpétuent avec quelques nuances
La niche environnementale
Est notre information principale
Parents, frères, soeurs, cousins, oncles, tantes
Sont à tous les cerveaux, des rentes
Bien plus que le résidu d’information
Journal lu ou parlé, radio, télévision
Plein de films et de documentaires
Dénoncent le fascisme ou le nazisme
Et il y a toujours autant de réactionnaires
Qui ignorent la vraie nature du fascisme ou du nazisme
La plupart des fascistes de nos jours
Ne savent même pas ce qu’est le fascisme
La plupart des nazis de nos jours
Ne savent pas ce qu’est le nazisme
La plupart des gens de droite
Ignorent l’Histoire des droites
Comme la plupart des gens de gauche
Ignorent l’Histoire des gauches
Et pas seulement les jeunes gens
Qui ne font que se conformer aux parents
Mais aussi beaucoup de gauchistes
Mais aussi beaucoup d’anarchistes
Se réclamer de quelque chose que l’on ignore
Voilà bien l’esprit fort !
Mais au fond, peu importe
C’est le même résultat, de la sorte
Et toujours les mêmes inepties
Religions, croyances, idéologies
Pas le besoin de réfléchir, d’être un cas
Pour marcher au pas !
C’est de la drogue sans drogue
Le vapotage comme forme de sevrage
Vapeur de 10 secondes pour s’éliminer
La fumée de cigarette met 10 minutes à s’annihiler
Température de 60 degrés pour l’e-cigarette
Température de 800 degrés pour la cigarette
Le propylène glycol
Est une bonne Baby Doll
Mais il rend la soif, folle
Sa dépendance est plus molle !
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Est une addiction à tous les poisons
Pour moi, toi, nous, vous, ils, elles
Nous sommes en pleine adaptation
Tout se contente d’être au fond
Et c’est seulement l’interprétation
De toutes les choses et évènements, que nous faisons !
Il n’y a pas de phénomènes moraux
Rien qu’une interprétation morale des phénomènes, ni vrai ni faux
Comme les 7000 espèces de crabes
Pour l’instant, toujours du rabe
Les humains sont aux humains
Elles et eux qui se croient si malins
Une sorte de carcinologie
Avec sa charpie, son éternelle agonie
Bien plus que les crabes, ô calomnie
Un panier d’êtres humains à deux pattes
Et non un panier de crabes à huit pattes
Sans compter le Macrocheira kaempferi
Crabe géant qui met au défi notre mégalomanie
La paraphysique est impopulaire
A toutes nos pitreries, elle nous éclaire !
Comme aussi
( 483-565 ) de feu Justinien
La peste de Justinien
( 541-767 ) qui sur les êtres humains, sévit
Déjà peste bubonique, entre 50 à 100 millions de décès, au moins
Tout est cyclique
De l’infime au galactique
Certes, je ne sais rien
Mais je sais que je ne sais rien !
Mais la peste brune
Le fascisme aux multiples visages
Le stalinisme aux divers rouages
Pour que sans cesse, la peste brune, renouvelle ses lacunes
La politique est atteinte de cette rage
Depuis des siècles, nous tournons ses pages
Dans tous les pays
Cette peste politique, resurgit
Et infecte tous les âges de la vie
Avec ses bouffons, ses inepties
Ses manifestations, ses crétineries
Avec ses armes et ses fusils
Et toujours le même nouveau jargon
Inutile d’en donner les noms !
Comme aussi les sports d’hiver et tous les expropriés
Au bord de la mer, sans aucune indemnité
Sotchi 2014, des millions d’euros fichus en l’air
Né en 1952, Poutine, ce stalinien si réactionnaire !
Et nous sommes toute l’humanité
Enfants, hommes, femmes
Mais le langage est sexiste
Tous les langages sont séparatistes
Aussi toute écriture est réductionniste
Tout est dans des cases séparées
Poésie, Science, Technologie, Histoire, Géographie, arts
De cela, la paraphysique en a marre
En vérité, tout est unité, rien n’est séparé
Tout est unifié, même et surtout, dans le divisé
Comme me le disait Jacques, l’ami
Personne n’est irréprochable, c’est ainsi
Dans une société dégueulasse
Directement ou indirectement, nous participons à la casse
Difficile de faire absolument autrement
Ou alors mourir sur le champ
Mais aussi, devenir autre, foutre le camp
Quand tout se fait dégueulasse
Quand tout devient shlasse

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l’invité sur "hiway.fr"


publié le 29 janvier 2014