A la mémoire de Marah Diab [1]
Imaginez-vous un instant à Gaza. Vous vivez dans une ville isolée et exsangue, plantée sur une étroite langue de terre abritant 1,8 million de vos semblables. Trois cent-soixante kilomètres carrés de réclusion, pas un de plus. Vos enfants portent dans leur esprit, ... (Lire la suite...)