De CQFD à Libération c’est le consensus. Il y a d’un côté le bon foot, le "populaire" avec ses idoles aux idées généreuses, un foot des favelas, des miséreux, des petits qui rêvent, "le foot qui relie les hommes", (Nous éviterons ici de parler de la bêtise du foot auto-géré et autres débilités du même ... (Lees meer...)