« Partout, un monde s’est organisé sans nous. Nous y fûmes jetés alors qu’il commençait à s’effondrer. Ce monde obéissait à des lois profondes que nous ne connaissions pas, sur lesquelles nous ne semblions avoir aucune prise, des lois qu’ils nomment « économie ». Devant l’ampleur du désastre, nous avons acquis la certitude que nous n’hériterons que de ruines. La société marchande à sa dernière heure peut-elle laisser autre chose ? Nous n’avons rien à perdre. Tout doit être jeté dans le bouleversement passionné de cet ordre finissant. Il est grand temps de « repartir à l’assaut du ciel ».