C’est annoncé partout : ce soir, on met les petits plats dans les grands. Le CRIF va demander à Macron, lors de son dîner d’hypocrites, des lois plus sévères envers les propos racistes sur internet... à l’exception de ceux de la LDJ ou d’Eric Zémmour, qui sont toujours disponibles en ligne, mais qui ne semblent poser aucun problème à ces redresseurs de torts....
"Le Crif s’inquiète de la diffusion d’un « antisémitisme islamiste » dans les quartiers populaires. Francis Kalifat entend attirer l’attention du chef de l’Etat sur cet « antisémitisme du quotidien » qui, « à force de petits actes qui se multiplient, rend la vie impossible à ceux qui vivent dans des quartiers difficiles et les oblige à un exil intérieur », rapporte The Ttimes of Israel.
Or, déplore le président Francis Khalifat, président du CRIF, « les juges n’arrivent pas encore à reconnaître cette délinquance antisémite ».
Commentant la baisse des actes antisémites recensés en France en 2017, il se plaint qu’ « une grande partie de l’antisémitisme véhiculé à travers internet n’est pas prise en compte dans les chiffres ».
Plusieurs associations, qu’on ne peut soupçonner de parti pris..." comme "L’Union des Etudiants Juifs de France", "SOS racisme" ou la "LICRA", se sont fendu mardi d’une tribune dans Le Monde sur le même thème, demandant des peines plus lourdes, et plus de facilités pour faire fermer les comptes qui diffusent sur Facebook ou youtube "des contenus illégaux".
D’où la nécessité d’obtenir des lois. Disant par exemple que le boycott de l’Etat d’israel est "discriminatoire" , ou que s’en prendre à "l’Etat Juif" est raciste, et que "l’antisionisme est de l’antisémitisme".
La seule proposition concernant les réseaux sociaux à laquelle nous adhérons pleinement est celle qui préconise de s’en prendre "aux acteurs qui passent sous le radar" (cf Le Monde daté du 7 mars) et de faire en sorte que "toute entreprise proposant un service en ligne en France doit désigner un représentant vers lequel pourraient se retourner les associations et les pouvoirs publics"...
Avis à la "Ligue de défense Juive", "Brigade Juive" et autres fascistes, qui émettent à partir d’Israël sans laisser la moindre trace en France !
Gageons qu’ils ne seront pas visés, pas plus que le gouvernement français ne demande l’extradition de Grégory Chelli, qui s’est établi en Israël alors qu’il a été condamné à de la prison par la justice française.