Maggie Deblock a menti.
Elle n’a pas résolu la crise de l’accueil. Depuis le début, son cabinet manipule les chiffres. Des centaines de familles se retrouvent à la rue et sans ressources. Le centre de retour de Holsbeek n’en est pas un. On y coache les familles pendant un mois pour leur faire accepter non pas le retour dans leur pays, mais leur future vie clandestine.
Si des centres ferment, c’est seulement parce que la clandestinité augmente.
Pour dénoncer cette politique inhumaine, les réfugiés afghans occupent un des centres qui a fermé récemment, rue du Trône 127.
Des dizaines de familles afghanes veulent ainsi dénoncer leur situation. Maggie Deblock annonce qu’elle n’expulse pas d’enfants vers l’Afghanistan, mais refuse de leur octroyer le droit de vivre dignement et le droit de travailler pour leurs parents.
Les Afghans exigent une solution immédiate pour sortir définitivement de la clandestinité.
Le Collectif des Afghans
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