Toutes les vitres des deux entrées situées rue Négresko et rue Paulet ayant été brisées, ce lieu infâme devait sentir moins le renfermé qu’à l’ordinaire.
On pense au procès qui commence demain à Paris. Complicité avec celles et ceux qui ne feront pas de pas en arrière.
Des banques aux voitures de flics en passant par les locaux des fascistes, il y a tant à détruire...