Bonjour,
Depuis deux ans, les Vénézuéliens ont pris l’habitude de recourir à des réseaux sociaux comme Twitter ou Facebook pour trouver ce dont ils ont besoin. Ils se passent des informations du type : « Il y a du café au Locatel, rue Bolivar ». Les plus rapides arrivent à temps, les autres s’énervent. La pénurie est telle que certains font des queues de plus de 24 heures. Les militaires viennent d’être dépêchés pour surveiller les supermarchés en province. Ils doivent même parfois tirer en l’air pour calmer la foule. Les réseaux sociaux permettent ainsi d’échanger sur la présence ou la vente de biens indispensables a la consommation.
Meilleures salutations
Jean-François Jaudon