Ainsi dans la langue française
Le féminin s’incline devant le masculin
Et cela n’est pas du tout anodin
Si feu ( 1628-1702 ) le prêtre jésuite Dominique Bouhours, en fit sa thèse
Et ainsi en 1676, la femme devenant eunuque
Ne mordrait plus la nuque
Ainsi l’homme, de pleine face
Ne mordrait plus la paillasse
La femme n’étant rien
De consommation, elle deviendrait un bien
De la prostitutionnalisation du tissu social
Pour que s’assouvissent les mâles
Comme dans les bordels militaires
Pendant les paix et les guerres
Et pas seulement an Asie du Sud-Est
Mais partout sur la planète
Là où sont les armées
Elles se font proxénètes
De femmes, leurs putains recensées
Par les impôts, tout est financé
Ô contribuables, pris pour idiots très bêtes
Et qui l’eut cru
Avec la complicité active de l’ONU
N’étant le complice d’aucun imposteur
Ou même d’aucun blagueur
N’aimant pas
Ni les impostures, ni les forfaitures
Je précise que Pat dit l’invité
Jamais sur scène, ne fait des simagrées
Même s’il n’est pas interdit
De m’imiter, sans m’usurper, pour être précis !
Non aux usurpateurs et aux imitateurs
Aux calomniateurs, aux déformateurs
Sauf à dire, que c’est de moi, qu’il s’agit
Et que c’est seulement, sur le site "hiway.fr", que je suis !
Et nulle part ailleurs
Ma pauvre petite personne, ne sévit !
Après toute cette vérité
Car je ne veux pas être plagié
Certes, l’on peut toujours me raconter
L’on peut me blaguer
L’on peut me jouer
De mes textes paraphysiques
Qui sont à ceux et celles, qui métaphysiques
D’une certaine façon, savent les détester ou les apprécier
Sans pour autant, se les approprier
Sans s’en moquer ou les diffamer
Alors, soit c’est de la blague
Comme à Bruxelles, dans un squat
Car à toute inhumanité, je suis de la schlague
Dans mes textes, pas vraiment baths !
Je ne tiens pas le moral des troupes
Je ne vends aucune soupe
Sans argent et sans entregent, un illustre inconnu
Par tout le monde, est fait cocu !
Comme à Fukushima, rien n’est vraiment dit
10 millions de becquerels par heure
Jamais, cela n’est fini, ils toussent les réacteurs
Le nuage radioactif, jamais ne meurt
De son passé, c’est encore aujourd’hui
Mais l’intelligence, de nos cerveaux, fuit !
Patrice Faubert (2013) puète, pouète, peuète, Pat dit l’invité sur "hiway.fr"